ÉQUILIBRE : COMMENT LES RITUELS, AU QUOTIDIEN, VOLENT À MON SECOURS ?
Par Sylvain
Synthèse en vidéo
Article
Face au monde inconnu, déroutant, dans ces mouvements, ces jugements, ces actions, qu’il est bon pour moi de mettre en place des rituels. Une base d’actions, d’ancrage, de connexion à moi-même : que je m’offre. Pour me ressourcer. Me développer. M’épanouir, pour rendre plus supportables les incertitudes extérieures.
Le sport, le matin, me permet de développer des endorphines, de la sérotonine, pour « énergiser » mon corps.
La méditation, dans le train, me permet de clarifier mon esprit.
Les temps d’écriture me permettent de relâcher toutes les idées, les interrogations, aussi l’énergie d’amour contenue en moi.
Et quand je me suis trop concentré, les temps à marcher me permettent de me délasser, et de retrouver une certaine fraîcheur, curiosité, gratitude face au monde.
Toutes ces activités sont nécessaires pour me sécuriser et m’ancrer. Et c’est une chance car elles me permettent de développer des compétences sportives, littéraires, un désir de spiritualité, que j’aime alimenter, quand pour les gens « sans atypisme », la discipline semble très fastidieuse à obtenir, et les engagements difficiles à respecter sur la durée.
Du coup, si on a la chance de pouvoir écouter son rythme, et de dérouler tous ces rituels, la journée, l’atypisme peut vraiment être un bienfait dans sa force de concentration et de persévérance.